Première pénétration

Ce que j’appelle une soirée exhib réussie, me revient en mémoire une expérience candauliste faite avec Caro, ma première épouse.

Nous avions passés nos vacances au bord du lac de Zell am see en Autriche. Depuis 2 ou trois mois, dans notre pratique candauliste, Caro acceptait très volontiers des fellations sur notre parking de Toulouse Rangueil. Nous revenions donc de nos vacances autrichiennes et Caro n’a pas refusé de reprendre rapidement nos pratiques sexuelles. A cette époque, Caro avait toujours refusé d’aller plus loin que les fellations. Toutefois, lorsque nous en parlions, elle m’avouait tout de même que pour quelques bénéficiaires de ses « gargarismes », elle aurait bien aimée être surprise à accepter une pénétration malgré ses réticences à le faire en public devant trop de voyeurs. Nous nous sommes retrouvés, vers 22 heures, sur notre parking. Mais, vacances obligent, le parking ce soir là n’était pas fréquenté par beaucoup de « volontaires ou voyeurs ». Nous avons attendus une bonne demi heure pour qu’enfin arrive un jeune adolescent d’une vingtaine d’années. Je n’ai plus le souvenir de son nom ni de son apparence physique mais je me souviens seulement que pour Karen, l’essentiel était de trouver, au minimum, un premier « complice » pour cette 1ère soirée de retrouvailles avec le candaulisme, nos vacances étant restées trop sages. Celui que je surnommerais « Paul » c’est approché prudemment de notre voiture mais a fini par arriver à la fenêtre ouverte de Caro. La demi-heure d’attente m’avait permis de remonter sa mini jupette (ras la touffe) et d’exhiber ainsi son entre jambe dénudé. Comme de toute façon j’étais en train de lui caresser la poitrine, Paul pouvait admirer le magnifique 105 C de Caro. Elle avait les tétons qui affirmaient sa forte excitation. Prenant les lèvres de Caro pour un long baiser bien baveux, je faisais signe à notre complice que l’entre-jambe maintenant exposé était donc à sa disposition. Surveillant du coin de l’oeil, j’ai donc vu que Paul avait compris mon message. Sa main remontait les cuisses et est arrivée rapidement au but. Il a caressé un petit moment la petite « moustache d’Henry IV » et rassuré par la non réaction de Caro et par l’écartement des cuisses, il a commencé à explorer le minou aux lèvres ouvertes. La respiration accélérée de mon épouse s’est vite transformée en un léger gémissement encourageant. Je lui tétais un téton au mieux de sa forme et Caro me caressait les cheveux. De son autre main, elle se caressait l’autre sein et titillait aussi le téton. Je pouvais voir Paul qui, maintenant, masturbait le clito avec un doigtage de plus en plus rapide. Caro était visiblement très excitée. Abandonnant sa poitrine, elle a sorti son bras et sa main est allée se plaquer contre la braguette de Paul. Comprenant l’appel, il a dégrafé son pantalon, et après avoir fouillé dans son slip, il a sorti, avec quelques difficultés son sexe qui ne pouvait cacher un état d’excitation très avancé. Caro l’a entouré de ses doigts et après avoir ronronné un « mumm » d’appréciation, elle a commence à le caresser tout en s’efforçant de ne pas le laisser jouir.
Je lui proposais à l’oreille et elle acceptait d’aller sur le siège arrière, entre Paul et moi, pour une bonne séance de caresses. Nous avons fait le transfert, mais avant de la laisser s’installer, je la déshabillée entièrement. Paul, comprenant l’avantage de ce transfert, a ouvert la portière de son côté et s’est assis à côté de ma femme, totalement nue. J’ai fait de même de l’autre côté. Caresses aidant, Caro s’est penchée vers la queue en porte drapeau de notre complice et je me suis régalé à l’observation de la bouche ouverte, laissant le barreau de chaise aller fouiller le fond de sa gorge. A commencé alors une « pipe royale », comme sait si bien les faire mon épouse. Paul me regardais tout éberlué de me voir admirer ma femme sucer cette queue étrangère sans réaction de jalousie. De là, pendant que Caro se passionnait avec sa pipe, je faisais comprendre gestuellement à Paul comment j’espérais la faire accepter de se laisser pénétrer après qu’il ait réussi à la rendre folle d’excitation avec un cunnilingus fortement fouineur. Il a très vite compris. Moi-même, je caressais le minou de Caro, et la doigtais au mieux pour forcer son excitation au plus fort. Paul lui caressait les seins, je lui caressais le minou, elle le suçait en flattant les couilles. Vu la « mayonnaise » que je pouvais sentir sur mes doigts j’étais sûr que ce soir serait le 1er soir avec pénétration d’un complice. Paul a préféré interrompre la pipe que lui prodiguait ma Caro et lui a proposé de lui rendre la pareille, quitte à lui faire reprendre la pipe par la suite. Il est sorti de la voiture et prenant Caro par les jambes, il l’a fit s’allonger, laissant les jambes sortir, et après s’être agenouillé, il lui a écarté les cuisses et à plongé sa tête pour commencer le cunni. De mon côté, je l’ai entourée de mes bras, et la prenant par les seins avec les main en soutien gorge je l’ai allongée, sa tête sur les cuisses. Ainsi j’ai repris mes tétées chose qu’elle adore et l’excite beaucoup. Maintenant, Caro était entièrement allongée sur le siège arrière de notre voiture, la tête de notre complice entre ses jambes écartées et moi qui lui caressais et la tétais. Je laissais Paul avec son cunnilingus qui lui fouillait son intimité et la faisait frissonner. Ses gémissements étaient de moins en moins discrets ce qui me laissait comprendre que Karen était au degrés le plus élevé de son excitation. Et lorsqu’elle arrivait à ce niveau, je la savais prête à accepter beaucoup pourvu qu’elle soit prise. Alors qu’elle n’arrivait même plus à contrôler ses gémissements, et qu’elle appuyait fortement sur la tête de Paul, je tapais sur l’épaule de celui-ci pour lui faire signe que c’était « le moment ». Paul qui venait de mettre un préservatif tout en « cunnilingant » a quitter le minou encore baveux et donc très lubrifié. Il est remonté lentement tout en la couvrant de baisers. Karen a tout de suite compris ou tout cela l’amènerait. Elle a tourné la tête vers moi, et m’a regardée avec un regard d’étonnement et de questionnement. Ca y était, elle avait compris : il allait la baiser et j’étais d’accord. Donc, maintenant, ce serait à elle, et à elle seule de refuser, de dire non. Et elle savait aussi, je savais qu’elle aurait trop envie pour refuser. Elle le laisserait donc la prendre comme nous en avions souvent parlé. Elle avait pour le moment, toujours dit non mais en avouant qu’il lui serait impossible de refuser si l’excitation la prenait. Maintenant, Paul était arrivé à la bonne hauteur. Il allait « conclure », la clouer sur le siège arrière de notre voiture. Alors, l’entourant de ses bras, Karen s’est abandonnée à son envie et le serrant fort contre elle, elle l’a laissé faire. Son regard d’interrogation avait changé. Il était devenu le regard lointain d’une femme cherchant le plaisir, le désirant, le voulant, l’acceptant. Je regardais les fesses de Paul qui montaient, descendaient, remontaient et redescendaient en accélérant de plus en plus vite. A la même cadence, Karen poussait de petits « han » de plaisir puis elle a réouvert ses yeux et me regardait maintenant avec du plaisir dans le regard réclamant un contact de ma part. Alors à mon tour, j’ai sorti mon sexe de mon pantalon et je l’ai posé sur ses lèvres. Karen a ouvert la bouche et m’a laissé la baiser buccalement. Elle serrait les lèvres et me laissait l’étouffer, la libérer, l’étouffer à nouveau et ses gémissements étouffés raisonnaient à mes oreilles comme des cris d’acceptation. J’ai jouis dans sa bouche alors que Paul grognait d’une bonne jouissance. Karen, les doigts crispés sur les reins de son jeune amant, vibrait de tout son être et prenait un pieds magnifique. Nous sommes resté un long moment sans rien dire jusqu’à ce que Paul se retire de mon épouse. Elle l’a regardé tendrement, et lui a demandé si cela lui avait plu tout en connaissant sa réponse par avance. Il l’a couverte de petits baisers amoureux et de compliments pour ce merveilleux moment. Nous avons discutés 10 minutes et après nous avoir donné son « 06 » Paul nous a quitté. Nous sommes entrés chez nous. Karen n’a rien dit de tout le trajet. Mais sa main posée sur ma queue encore en érection parlait pour elle.
Nous avons revus Paul deux fois et la dernière fois, dans un hôtel, fut aussi sa première double pénétration. Cette expérience qui nous a fait faire un grand pas dans le candaulisme.

Laisser un commentaire